Chaque année, plus de 2 000 femmes meurent au Burkina Faso de complications liées à la grossesse et à l’accouchement.

La plupart de ces décès auraient pu être évités. La mortalité maternelle touche majoritairement les femmes les plus pauvres et les moins éduquées et celles qui vivent en zones rurales.

Les femmes au Burkina Faso font face à de nombreuses barrières qui les empêchent d’accéder aux services de santé dont elles ont besoin, notamment à des barrières sociales et économiques, et en particulier au coût des traitements médicaux et des soins obstétricaux.

Les frais payés par la famille pour les accouchements et pour couvrir les éventuelles complications sont souvent pour les plus pauvres un obstacle insurmontable qui peut retarder le traitement des femmes enceintes.

http://www.amnesty.fr/index.php/amnesty/agir/campagnes/exigeons_la_dignite/actions/combattre_la_mortalite_maternelle_au

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