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23 janvier 2010

"OCEANS": film de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud sortie le 27 janvier 2010 une decouverte des fonds marins à ne pas louper :)

Filer à 10 noeuds au coeur d’un banc de thons en chasse, accompagner les dauphins dans leurs folles cavalcades, nager avec le grand requin blanc épaule contre nageoire… C’est être poisson parmi les poissons. Après LE PEUPLE MIGRATEUR, JACQUES PERRIN et JACQUES CLUZAUD nous entraînent, grâce à des techniques de tournage inédites, au coeur des océans à la découverte de créatures marines méconnues et ignorées. S’interroge sur l’empreinte que l’homme impose à la vie sauvage et répond par l’image et l’émotion à la question :“L’Océan ? C’est quoi l’Océan ?"

Progressivement, l’homme s’est aventuré sur la mer. Ses découvertes furent autant de conquêtes. Naviguant au-dessus d’un monde mystérieux, il n’en soupçonnait pas l’infinie richesse et diversité. Si les secrets océaniques ont fasciné les explorateurs, ils ont aussi fait naître les convoitises.

On n’a jamais tant découvert, on n’a jamais tant agressé. Et pourtant, la mer est encore un immense territoire sauvage. Les portes océanes offrent toujours des espaces de liberté illimités. La mer, les bateaux, les poissons, c’est ce que dessinent les enfants.
L’histoire naturelle des espèces cachées dans la mer est un merveilleux conte du vivant… n’est pas un documentaire mais un opéra sauvage. Chaque plongeur cameraman, chaque opérateur a apporté des fragments de la partition : celle d’un hymne à la mer.

Pays : France, Espagne, Suisse - Genre : Documentaire - Durée : 1H43 - Titre original : Océans - Année de production : 2009 -Musique : Bruno Coulais - Produit par : Jacques Perrin, Nicolas Mauvernay - Distributeur : Pathé Distribution

source


interview   pour ceux et celle qui veulent s'adresser un cet homme on peut le joindre ici pour le féliciter ;-) 

 

 

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Commentaires
T
sous la video : "le joindre ici" l'accès est direct
S
Merci à vous Je n'ai pas eu le lien Anne<br /> Cordialement, <br /> sophielatourdusite@voila.fr <br /> Sophie
D
Bonjour,<br /> <br /> ce n'est pas ame sensible s'abstenir. C'est "n'aller pas voir ce film comme vous avez pu voir microcosmos", avec une envie d'émerveillement.<br /> Il faut y aller conscient qu'on va de nouveau nous dire qu'on est sur une pente glissante, que c'est inéluctable, malgré les quelques paroles d'espoir.<br /> Voyez vous, cela devient une sinistrose, une surenchère au catastrophisme.<br /> Je voulais pour une fois voir de belles images, sans morale (il y en a partout), sans pessimisme (tout docu télé se termine ainsi) et ressortir gonflé à bloc.<br /> <br /> J'ai quitté la salle déprimé, d'autant plus que j'étais dans l'état d'esprit avec lequel j'avais vu microcosmos, le pleuple migrateur...<br /> <br /> Je ne suis pas ultrasensible... j'ai vu le cauchemard de Darwin, je tire mon chapeau à Brigitte Bardot, qui nous montre les travers de l'homme.<br /> <br /> Je le sais, cela fait partie de mes préoccupations, mais là, je croyais toucher un instant d'absolu.<br /> <br /> Cordialement<br /> <br /> David
T
Comme je n'ai pas vu le film, il va mettre très dur de répondre mais malgré tout je pense que malheureusement vous êtes de ceux qui sont déjà pris conscients des désastres qui sont entrain de se passer,vous semblé choquer, blessé, amer, trahis, complètement retourné. <br /> je peux comprendre votre rejet car vous ne vous étiez pas préparez a voir un tel spectacle, me connaissant je serais peut être sortie même de la salle, ça m'est arriver il y a peu de temps je n'attendais que la beauté, j'ai vu un bain de sang de baleines, le passage n'a pas été long mais mes larmes non plus, du coup cela ma pourrie le tout qui était magnifique pour dire seulement que moi aussi j'ai été bouleversé tout en sachant mais je suis la seule a être sortie !!<br /> <br /> Que faut il faire ?<br /> <br /> Ne doit-on pas informer la majorité des gens qui ne réalisent pas le massacre qui se passe en silence dans les océans ? <br /> <br /> je ne suis pas pour que les gens soit blesser mais il faudrait peut être qu'un jour les gens finissent par réaliser que nous faisons les cons, que nous foutons en l'air tout ce qui nous entoure<br /> <br /> Pas facile de dénoncer en avançant d'avance la face caché des souffrances que cela engendre à la faune marine <br /> Faut il encore et toujours prendre des gants ? <br /> <br /> Continuer comme si de rien n'était ? <br /> <br /> Pour ma part je pense qu'il faut maintenant montrer la vérité au grand jour malgré sa propre sensibilité, l'émotion qui submerge, pour le respect de la vie quelque soit l'espèce <br /> <br /> Le tournage a été réaliser par des amoureux de la Nature j'en reste persuadée, je pense qu'ils ont aussi pris sur eux pour divulgue ce qui les effrayent, ils ne trahissent pas des gens comme vous et moi, c'est un cri qu'ils lancent un message d'urgence pour tous<br /> <br /> Merci pour votre témoignage, n'en voulez a personne c'est un beau geste qu'ils ont fait même si cela vous a personnellement touché, nous sommes 6 milliards, combien a convaincre de la gravité ?<br /> <br /> Très cordialement<br /> Anne
D
Je sors de la projection, j'ai un gout amer, une nausée qui ne me lache plus, un dégout...<br /> <br /> Que de merveilles, quel équilibre, quelle adaptation des espèces à leur environnement.<br /> <br /> Les images sont magnifiques et allient la beauté des prises de vue à la prouesse technique qui s'oublie devant la dynamique et l'élan de vie des cétacés et des poissons.<br /> <br /> Un crescendo qui nous emmène de plus en plus haut à chaque séquence.<br /> <br /> La sobriété des commentaires nous permet d'illustrer nous même ce que nous voyons : les poissons clowns dans les anémones de mer y survivent en symbiose avec elles malgré leur dangerosité pour les autres espèces de poissons. Et pour cause, ils sont immunisés contre le venin des anémones...<br /> Point trop de commentaires didactiques donc, pour faire place à l'émerveillement.<br /> <br /> Et puis d'un coup, un filet. Dans ce filet un poisson qui nage gentiment, à distance des mailles. Puis un autre qui s'approche, plus près du filet. Encore un qui commence à se prendre dedans... puis des myriades de poissons, cétacés pris dans les mailles.<br /> Ceux là sont prisonniers pour rien, ils ne sont pas chassés, vendus, consommées. Leur mort fait partie des dommages collatéraux comme on dit ailleurs pour d'autres drames.<br /> <br /> Et puis nouvelle dégringolade, la pêche nous est montrée sous ses aspect les plus déconcertants ; requins amputés de leurs seuls ailerons et remis à l'eau tels quels, où ils finiront par mourir d'asphyxie car sans leur nageoires ils ne peuvent assurer le renouvellement d'eau nécessaires pour respirer avec leurs branchies.<br /> Quel gaspillage et quelle cruauté : dans l'ordre qui vous plait.<br /> <br /> Dès lors, je n'ai plus été capable de profiter de la suite du film et des images.<br /> <br /> Je me suis refermé, je suis rentré dans mon trou, dans ma coquille, à l'instar des bernard l'ermite du début de la projection.<br /> <br /> Je me suis senti trahi, piégé... Me montrer tout cela pour me dire ensuite que l'homme compromet tout.<br /> <br /> Ne croyez pas que je sois une oie blanche, que j'ignore tout cela, que je ne veuille pas le voir.<br /> <br /> Je suis tout autant informé que les autres, et peut être même plus que la moyenne, comme d'ailleurs je pense, l'ensemble des spectateurs dans la salle de cinéma.<br /> Et pour cause, qui se dérange pour aller voir ce genre de film si ce ne sont les hommes et les femmes sensibles à la nature, à sa beauté, sa sauvagerie, son équilibre.<br /> <br /> Qui donc parmi les spectateurs est venu par hasard, choisissant résolument ce film plutôt que "Avatar », la « Princesse grenouille » ou un autre. Il n’y a pas de curieux dans la salle, tous sont acquis aux thèses défendues par l’auteur.<br /> Alors, à quoi bon nous faire la leçon à nous, pourquoi nous renvoyer chez nous avec cette cruauté, ce gâchis.<br /> Il suffit de regarder la télévision pour y être confronté, et j’y suis confronté car je suis un téléspectateur assidu de documentaires animaliers et autres images de la Terre.<br /> J’ai moi-même à mon échelle infléchi ma façon de vivre et de consommer, goutte d’eau parmi d’autres… mais je suis concerné, je me sens parti prenante de ces enjeux.<br /> <br /> J’allais donc voir ce qui « reste de beau dans les océans », conscient de la fragilité de la planète, comme l’ensemble des spectateurs, je le répète et j’en suis certain.<br /> <br /> J’allais voir le film avec un état d’esprit complètement différent des autres réalisations que je vais voir ; d’ailleurs, dans la file d’attente et dans la salle avant la projection, quant les lumières étaient allumées, une certaine connivence, entente, unité, oserais-je « communion » parmi les spectateurs. C’était bien là le rendez-vous des amoureux de la nature.<br /> Etait-il donc nécessaires de finir le film comme les autres du même genre : l’homme est horrible, il souille tout, corrompt tout, s’approprie, dénature, anéantit… Je le sais, nous le savons tous… surtout nous tous qui sommes dans la salle. Nous venons justement chercher de quoi nous donner des forces : la nature est encore là, elle vit. Redoublons d’effort dans notre vie quotidienne car … J. Perrin nous a donné à voir Ô combien elle est belle. J’y allais pour cela, je faisais confiance, dans un sentiment d’être entre amis.<br /> Et puis cela se termine comme les autres documentaires. Ce n’est plus un film, c’est un documentaire, avec sa conclusion attendue : « Capri, c’est fini, et dire que c’était la… ».<br /> Les alarmes sont nécessaires, les SOS indispensables, les alertes bénéfiques, mais de temps en temps, un peu de repos, un peu de joie pure, la contemplation de l’Eden sans nous mettre le serpent sous le nez, souffler sur son gâteau qui a 20 bougies sans nous agiter le déambulateur du grand père devant les yeux.<br /> Ce n’est pas se voiler la face, c’est reprendre des force.<br /> <br /> J’allais reprendre des forces dans un moment de contemplation de la beauté du monde sauvage, l’esprit relaché, je me suis retrouvé la tête plongé de force sous l’eau nauséabonde du monde réel, par surprise, sans avoir pu prendre ma respiration avant.
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