Lors de l'inauguration de l'exposition sur le Grand Paris à a Cité de l'architecture, le chef de l'etat a plaidé pour une déré
déréglementation du droit de l'urbanisme qu'il juge trop lourd et contraignant.
Allons y bétonnons tout, plus une parcelle de verdure, continuons ... à mort la nature !! elle commence a nous faire chier celle là vous ne trouver pas ? il y a trop de vert partout allons courage, le ciment nous feras vivre qu'importe si nous massacrons le peu de biodiversite que nous avons, il en reste si peu de toute façon qu'on ne va pas s'attarder sur les miettes qui restent !!!!
Piétinons à grands coups de savates notre Terre nourricière, pas de remords, flinguons tout et vite que l'on en finisse, qu'importante les générations futurs de toute façon on s'en va droit dans le mur alors pas de panique avec cette nouvelle façon on va y aller encore plus vite
j'ai cracher mon language de mots, mais mon coeur n'est pas pour autant plus léger, je trouve que l'horizon est bien moche ce soir
On va finir par tout perdre, voici les mots qui m'ont ....
"Il faut libérer l'offre, déréglementer, augmenter les COS (coefficient d'occupation des sols), rétablir la continuité du bâti dans les zones denses, permettre aux propriétaires d'agrandir leur maison individuelle, rendre constructible les zones inondables, utiliser les interstices, changer les procédures, changer la façon d'appliquer le droit..."
Le président de la République s'est fixé comme objectif de doubler la construction de logements en Ile-de-France pour la porter à 70.000 logements par an, estimant à 1,5 million le nombre de logements nécessaires à l'horizon 2030. "L'obstacle n'est pas la rareté du foncier mais la façon dont on le gère », a-t-il affirmé avant de chiffrer à 200 kilomètres carrés l'offre foncière, "soit deux fois la superficie de Paris Intra-muros".
"Il faut sortir du respect passif d'une réglementation de plus en plus pesante, changer la philosophie du droit de l'urbanisme", démarche qui impliquera le parlement. "Nul n'est censé ignorer la loi. En matière d'urbanisme, il y a du chemin à faire", a conclu le chef de l'Etat après avoir ironisé sur le code qui fait "8 volumes de 1000 pages". Enfin, il a plaidé pour la fin des zonages, assurant : "Le vieux fonctionnalisme a vécu".
Voir aussi notre dossier sur le Grand Paris
donné des nausées